Pour le huit mars je choisis, encore une fois, de me révéler quelque peu vulnérable, pour évoquer les insécurités universelles que nous partageons toutes et tous.
Dans un village au Brésil, lieu qui ne ressemble en rien aux cartes postales du pays du carnaval, il existe, au milieu des champs infinis, une ONG qui lutte pour la préservation de la nature.